Au fil de l'or
Carouge (CH) - Lauréat
DONNÉES DE L’ÉQUIPE
Associés : Marc de Tassigny (CH), Leonhard Kanapin (CH), Kim Pittier (CH), Stefania Malangone (CH) – architects, Félix Brüssow (DE), Nicolas Waechter (FR) – landscape architects, Oriane Martin (CH) – geographer, urban planner
Collectif Fontenette
p.a. MDT architectes sàrl - 1205 Genève - Suisse
T. 022 774 27 27
collectif.fontenette@gmail.com
PORTRAIT D'ÉQUIPE
VIDEO (par l'équipe)
INTERVIEW
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1. Comment s'est constituée votre équipe à l'occasion du concours?
Le concours a été l'occasion de travailler ensemble dans un groupe ouvert formé d’une majorité de personnes se connaissant depuis plusieurs années et collaborant régulièrement ou occasionnellement à Genève. Constituée de sept jeunes professionnels, notre équipe partage une vision commune sur la manière d'imaginer la ville tout en faisant de ces compétences complémentaires et pluridisciplinaires un atout. La motivation de chacun des membres de l’équipe a été une grande force pour proposer notre projet sur un territoire que nous connaissons bien.
2. Quelle est la problématique principale du projet et comment avez-vous répondu à la question de la session sur les Villes vivantes ?
Voisin du quartier du Bout-du-Monde, celui de la Fontenette souffre d’une position de quartier périphérique aux usages ponctuels ou que l’on ne fait que traverser. Le projet « Au fil de l’or » requalifie les espaces sous-exploités et offre l’opportunité de vivre et d’expérimenter le quartier Fontenette et les bords de l’Arve d’une nouvelle manière. La ville vivante, nous l’imaginons comme une redynamisation du territoire en s’appuyant sur le paysage et la ripisylve de l’Arve, en reconnectant les différents quartiers entre eux et en y programmant de nouvelles activités. Par les moyens de l’urbanisme, du paysage et de l’architecture, petites et grandes interventions créent une cohérence d’ensemble créant un lieu de destination au-delà du quartier. En redonnant un caractère à ce lieu, une nouvelle identité, « Au fil de l’or » cherche à mettre en lumière les potentiels vivants de ce site. Ce projet, nous l’imaginons comme le début d’une discussion, une proposition qui peut enrichir une vision pour Fontenette et pour la commune de Carouge.
3. Comment les problématiques sur les vitalités métaboliques et inclusives et les questions posées par la mutation du site se sont-elles croisées ?
Le site de projet présente un patrimoine remarquable non seulement d’un point de vue architectural –fruit d’une longue tradition économique et de pratiques constructives vernaculaires oubliées– mais aussi d’un point de vue biologique. En parcourant le site de l’usine Boulenger, nous avons été frappés par la façon dont des présences non-humaines se sont appropriées l’espace. D’une manière paradoxale, alors que la présence anthropique s’est délitée avec la désindustrialisation du territoire, cette ancienne usine de carreaux de faïence à l’arrêt accueille une différente forme de vie. La question est donc de savoir comment ce patrimoine vivant d’un point de vue biologique peut entrer en résonance avec de nouvelles formes d’investigations anthropiques sans que l’un de ces deux systèmes de forces n’altère l’autre et de montrer quels sont les moyens de trouver des synergies mutuelles et inclusives.
Le site de projet présente un patrimoine remarquable non seulement d’un point de vue architectural –fruit d’une longue tradition économique et de pratiques constructives vernaculaires oubliées– mais aussi d’un point de vue biologique. En parcourant le site de l’usine Boulenger, nous avons été frappés par la façon dont des présences non-humaines se sont appropriées l’espace. D’une manière paradoxale, alors que la présence anthropique s’est délitée avec la désindustrialisation du territoire, cette ancienne usine de carreaux de faïence à l’arrêt accueille une différente forme de vie. La question est donc de savoir comment ce patrimoine vivant d’un point de vue biologique peut entrer en résonance avec de nouvelles formes d’investigations anthropiques sans que l’un de ces deux systèmes de forces n’altère l’autre et de montrer quels sont les moyens de trouver des synergies mutuelles et inclusives.
4. Avez-vous déjà traité cette problématique précédemment ? Quels ont été les projets références pour le vôtre ?
Au travers de nos expériences professionnelles, nous avons été amenés à traiter ces problématiques de réhabilitation de structures/ transformation de bâtiments, d’inclusivité et d'intégration du monde vivant au sein de divers projets urbains. A ce titre, une partie de notre équipe a déjà eu l’opportunité de travailler sur la question de l’inclusivité sur une place à Lyon dont le thème du concours était spécifiquement orienté sur l’égalité de genre dans l’espace public. A cette occasion nous avions compris qu’au-delà du formalisme attendu de notre proposition, c’était un travail sur les processus, sur la mise en place des conditions du changement plus que sur le changement en lui-même qu’il était nécessaire d’engager pour enclencher les dynamiques souhaitées. Dans le cadre du concours CONSTRUIRACIER 2020, sur le thème des Turbulences, l’une de nous a également travaillé sur l’ancienne zone industrielle de Chalon sur Saône. Les grues, les portiques roulants et anciens silos à grains devenaient les outils de construction et d’expérimentations du lieu d’enseignement. Une réponse cohérente face à des sites dont l’histoire constitue un fort potentiel de réinvention. Au-delà des projets, ce sont nos rencontres à la fois avec le site, ses habitants et ses forces vives, ainsi que les différents échanges autour de nos lectures et un regard critique sur nos métiers respectifs qui nous ont permis d’aboutir à cette proposition. Ces premières intuitions, issues de nos recherches et expériences de terrain, se sont trouvées confortées par la connaissance de projets similaires faisant la part belle aux réemploi de matériaux. Parmi eux, le projet Cycle Terre qui réutilise les terres excavées du Grand Paris pour en faire des matériaux de construction. L’émergence de workshops et de formations autour de la filière terre a également été une source d’inspiration.
Au travers de nos expériences professionnelles, nous avons été amenés à traiter ces problématiques de réhabilitation de structures/ transformation de bâtiments, d’inclusivité et d'intégration du monde vivant au sein de divers projets urbains. A ce titre, une partie de notre équipe a déjà eu l’opportunité de travailler sur la question de l’inclusivité sur une place à Lyon dont le thème du concours était spécifiquement orienté sur l’égalité de genre dans l’espace public. A cette occasion nous avions compris qu’au-delà du formalisme attendu de notre proposition, c’était un travail sur les processus, sur la mise en place des conditions du changement plus que sur le changement en lui-même qu’il était nécessaire d’engager pour enclencher les dynamiques souhaitées. Dans le cadre du concours CONSTRUIRACIER 2020, sur le thème des Turbulences, l’une de nous a également travaillé sur l’ancienne zone industrielle de Chalon sur Saône. Les grues, les portiques roulants et anciens silos à grains devenaient les outils de construction et d’expérimentations du lieu d’enseignement. Une réponse cohérente face à des sites dont l’histoire constitue un fort potentiel de réinvention. Au-delà des projets, ce sont nos rencontres à la fois avec le site, ses habitants et ses forces vives, ainsi que les différents échanges autour de nos lectures et un regard critique sur nos métiers respectifs qui nous ont permis d’aboutir à cette proposition. Ces premières intuitions, issues de nos recherches et expériences de terrain, se sont trouvées confortées par la connaissance de projets similaires faisant la part belle aux réemploi de matériaux. Parmi eux, le projet Cycle Terre qui réutilise les terres excavées du Grand Paris pour en faire des matériaux de construction. L’émergence de workshops et de formations autour de la filière terre a également été une source d’inspiration.
5. Les projets urbano-architecturaux de type Europan ne peuvent se réaliser que dans une relation aux acteurs à travers un processus négocié et dans le temps. De quelle manière avez-vous intégré cette question dans votre projet ?
Nos propositions ont été réfléchies pour pouvoir s’intégrer à un phasage avec différentes temporalités permettant des réaliser des modifications légères (mobilité, pavillons, espaces publics…) et d’autres qui demandent de plus grandes négociations pour qu’elles se réalisent (passage de l’Arve, requalification du bureau des autos…). Les différentes temporalités peuvent également être un moyen pour prendre le temps de convaincre et de tester des usages temporaires tout en permettant à la population d’adhérer au projet. Nous sommes conscients qu’un projet de cette ampleur demande un suivi continu, une expertise multiple et de nombreux échanges avec les différentes institutions publiques et les propriétaires privés afin d’accompagner la réalisation des projets que décrit un masterplan. Le fait que nous sommes déjà actifs professionnellement sur ces thématiques à Genève est également un atout pour faciliter ses discussions et la réalisation du projet.
6. Est-ce la première fois que vous êtes primé(s) à Europan? De quelle manière cela peut-il vous aider dans votre parcours professionnel ?
Oui, c’est la première fois que nous sommes primés à Europan et c'est également notre première participation. Nous sommes très heureux de ce succès et de la visibilité que cela apportera à tous les membres de notre équipe.
IDENTITÉ DE L'ÉQUIPE
Agence : -
Fonction : architecture, paysage, urbanisme, ingénierie de la conception, politiques publiques
Âge moyen des associés : 33,5 ans
Avez-vous composé une équipe pluridisciplinaire et si oui composée de quelles disciplines et pourquoi ?
La constitution d’une équipe pluridisciplinaire est pour nous une condition de participation au concours EUROPAN. Nos disciplines regroupent tous les éléments pour créer cette ville vivante.
• Géographie et urbanisme
Géographie et urbanisme nous ont permis de composer le projet à travers le prisme du contexte territorial et identitaire du site tout en promouvant un récit sensible pour mieux imaginer le futur quartier. Le développement d’un programme comme fil conducteur accompagne le projet dans la grande et petite échelle. L'urbanisme fait la synthèse de chaque discipline et cherche à renforcer les dynamiques territoriales. En termes de mobilité, de programmation et en proposant de nouveaux rapports aux espaces naturels et aux espaces publics, la ville est à penser dans son ensemble en s’appuyant sur chaque compétence pour rendre un projet réalisable et soutenable.
• Architecture du paysage et environnement
Pour pouvoir imaginer une ville vivante grâce à sa vitalité métabolique, l’architecture du paysage nous a permis de mettre en avant la nature structurante du site en pensant d’abord les espaces de nature puis les espaces bâtis en fonction de leurs impacts sur l’environnement. Parfois, les usages humains sont à temporiser si nous voulons favoriser la biodiversité menacée par le changement climatique et la pression foncière.
• Architecture et patrimoine
L'architecture nous a permis de poser un regard harmonieux et technique sur les différents espaces bâtis du site pour en préserver, en repenser et en proposer de nouveaux à des endroits stratégiques avec un positionnement adéquat. Le rôle de l’architecture est de conserver l’histoire d’un lieu et d'en créer de nouvelles, par de grandes interventions pour la création de la maison de l'environnement et la requalification du bureau des autos ou encore des plus petites par l’implantation de pavillons le long de l’Arve. Une architecture s’intégrant dans le paysage permettant d'habiter ce territoire en toutes saisons.
• Urbanisme tactique et participation citoyenne
Nous imaginons concevoir la ville pour toutes et tous. Pour créer cette ville inclusive et vivante, nous souhaitons placer les futurs usagers et les différents partenaires autour d’un programme commun et d’actions collectives. Un bon accompagnement du projet et un processus de concertation sont une nécessité pour créer cette vitalité métabolique et être au plus proche des besoins et attentes de toutes et tous.
L’équipe a-t-elle, en totalité ou en fragments, conçu, voire réalisé, des projets et/ou gagné des concours ? Si oui, lesquels ?
Nous avons tous suivi des formations durant lesquelles nous devions concevoir des projets répondant à des thématiques précises. Certains membres de l’équipe sont familiers avec les concours d’architecture et d’urbanisme et en ont déjà gagnés. Pour d’autres, Europan était leur première expérience dans un concours officiel. Un des membres de l’équipe a réalisé le réaménagement de la plage de Céligny. Le projet ré-imagine les usages de cet espace d’une manière plus contemporaine. Les accès ont été facilités pour les personnes à mobilité réduite, un écopoint a été aménagé, et le grill à charbon a été remplacé par une plancha électrique. Les revêtements de pavés ont été conservés et adaptés. Le projet a intégré des zones de stabilisés fins pour assurer une certaine douceur pour les pieds et le projet. Les grands arbres emblématiques ont été conservés et un arbre a été planté pour encadrer la rampe d’accès des bateaux. Les plantations de vivaces sur le fond, contre les limites parcellaires ont été sélectionnées pour s’épanouir selon les expositions solaires et celles-ci créent une intimité du voisinage pour accueillir à nouveau les usagers/ères. En 2021, deux des membres de l’équipe ont également conçu, organisé et mené une démarche participative dans le cadre du projet de réaménagement de la Place de Carantec au Grand-Saconnex à Genève. Durant trois ateliers, les participants ont pu réfléchir et se positionner autour de thématiques sur les espaces publics ou encore la programmation des rez-de-chaussée des futurs bâtiments. Les membres du bureau MDT architectes ont développés plusieurs projets à diverses échelles en Suisse romande. De la surélévation d’un immeuble de logements avec encadrement pour personnes âgées à la conception de villas mitoyennes. Ces différents projets leurs ont permis d’acquérir un regard ouvert et critique sur les problématiques de densification et de développement urbain actuelles, telles que le logement pour personnes âgées en centre-ville, la problématique d’un centre de soins thérapeutiques en zone résidentielle et la densification de la proche périphérie de la ville. Le projet situé au chemin de la Blanchette à Onex propose un habitat groupé de 17 appartements en très haute performance énergétique, au milieu d’un parc arboré. Il offre des logements de qualité dans un cadre verdoyant et une nature préservée, tout en étant à proximité du centre-ville.
Nos propositions ont été réfléchies pour pouvoir s’intégrer à un phasage avec différentes temporalités permettant des réaliser des modifications légères (mobilité, pavillons, espaces publics…) et d’autres qui demandent de plus grandes négociations pour qu’elles se réalisent (passage de l’Arve, requalification du bureau des autos…). Les différentes temporalités peuvent également être un moyen pour prendre le temps de convaincre et de tester des usages temporaires tout en permettant à la population d’adhérer au projet. Nous sommes conscients qu’un projet de cette ampleur demande un suivi continu, une expertise multiple et de nombreux échanges avec les différentes institutions publiques et les propriétaires privés afin d’accompagner la réalisation des projets que décrit un masterplan. Le fait que nous sommes déjà actifs professionnellement sur ces thématiques à Genève est également un atout pour faciliter ses discussions et la réalisation du projet.
6. Est-ce la première fois que vous êtes primé(s) à Europan? De quelle manière cela peut-il vous aider dans votre parcours professionnel ?
Oui, c’est la première fois que nous sommes primés à Europan et c'est également notre première participation. Nous sommes très heureux de ce succès et de la visibilité que cela apportera à tous les membres de notre équipe.
IDENTITÉ DE L'ÉQUIPE
Agence : -
Fonction : architecture, paysage, urbanisme, ingénierie de la conception, politiques publiques
Âge moyen des associés : 33,5 ans
Avez-vous composé une équipe pluridisciplinaire et si oui composée de quelles disciplines et pourquoi ?
La constitution d’une équipe pluridisciplinaire est pour nous une condition de participation au concours EUROPAN. Nos disciplines regroupent tous les éléments pour créer cette ville vivante.
• Géographie et urbanisme
Géographie et urbanisme nous ont permis de composer le projet à travers le prisme du contexte territorial et identitaire du site tout en promouvant un récit sensible pour mieux imaginer le futur quartier. Le développement d’un programme comme fil conducteur accompagne le projet dans la grande et petite échelle. L'urbanisme fait la synthèse de chaque discipline et cherche à renforcer les dynamiques territoriales. En termes de mobilité, de programmation et en proposant de nouveaux rapports aux espaces naturels et aux espaces publics, la ville est à penser dans son ensemble en s’appuyant sur chaque compétence pour rendre un projet réalisable et soutenable.
• Architecture du paysage et environnement
Pour pouvoir imaginer une ville vivante grâce à sa vitalité métabolique, l’architecture du paysage nous a permis de mettre en avant la nature structurante du site en pensant d’abord les espaces de nature puis les espaces bâtis en fonction de leurs impacts sur l’environnement. Parfois, les usages humains sont à temporiser si nous voulons favoriser la biodiversité menacée par le changement climatique et la pression foncière.
• Architecture et patrimoine
L'architecture nous a permis de poser un regard harmonieux et technique sur les différents espaces bâtis du site pour en préserver, en repenser et en proposer de nouveaux à des endroits stratégiques avec un positionnement adéquat. Le rôle de l’architecture est de conserver l’histoire d’un lieu et d'en créer de nouvelles, par de grandes interventions pour la création de la maison de l'environnement et la requalification du bureau des autos ou encore des plus petites par l’implantation de pavillons le long de l’Arve. Une architecture s’intégrant dans le paysage permettant d'habiter ce territoire en toutes saisons.
• Urbanisme tactique et participation citoyenne
Nous imaginons concevoir la ville pour toutes et tous. Pour créer cette ville inclusive et vivante, nous souhaitons placer les futurs usagers et les différents partenaires autour d’un programme commun et d’actions collectives. Un bon accompagnement du projet et un processus de concertation sont une nécessité pour créer cette vitalité métabolique et être au plus proche des besoins et attentes de toutes et tous.
L’équipe a-t-elle, en totalité ou en fragments, conçu, voire réalisé, des projets et/ou gagné des concours ? Si oui, lesquels ?
Nous avons tous suivi des formations durant lesquelles nous devions concevoir des projets répondant à des thématiques précises. Certains membres de l’équipe sont familiers avec les concours d’architecture et d’urbanisme et en ont déjà gagnés. Pour d’autres, Europan était leur première expérience dans un concours officiel. Un des membres de l’équipe a réalisé le réaménagement de la plage de Céligny. Le projet ré-imagine les usages de cet espace d’une manière plus contemporaine. Les accès ont été facilités pour les personnes à mobilité réduite, un écopoint a été aménagé, et le grill à charbon a été remplacé par une plancha électrique. Les revêtements de pavés ont été conservés et adaptés. Le projet a intégré des zones de stabilisés fins pour assurer une certaine douceur pour les pieds et le projet. Les grands arbres emblématiques ont été conservés et un arbre a été planté pour encadrer la rampe d’accès des bateaux. Les plantations de vivaces sur le fond, contre les limites parcellaires ont été sélectionnées pour s’épanouir selon les expositions solaires et celles-ci créent une intimité du voisinage pour accueillir à nouveau les usagers/ères. En 2021, deux des membres de l’équipe ont également conçu, organisé et mené une démarche participative dans le cadre du projet de réaménagement de la Place de Carantec au Grand-Saconnex à Genève. Durant trois ateliers, les participants ont pu réfléchir et se positionner autour de thématiques sur les espaces publics ou encore la programmation des rez-de-chaussée des futurs bâtiments. Les membres du bureau MDT architectes ont développés plusieurs projets à diverses échelles en Suisse romande. De la surélévation d’un immeuble de logements avec encadrement pour personnes âgées à la conception de villas mitoyennes. Ces différents projets leurs ont permis d’acquérir un regard ouvert et critique sur les problématiques de densification et de développement urbain actuelles, telles que le logement pour personnes âgées en centre-ville, la problématique d’un centre de soins thérapeutiques en zone résidentielle et la densification de la proche périphérie de la ville. Le projet situé au chemin de la Blanchette à Onex propose un habitat groupé de 17 appartements en très haute performance énergétique, au milieu d’un parc arboré. Il offre des logements de qualité dans un cadre verdoyant et une nature préservée, tout en étant à proximité du centre-ville.
L’équipe dispose-t-elle déjà d’un local de travail ? Si oui, description succincte :
Nos différentes réunions ont eu lieu dans la salle commune d’une coopérative genevoise au centre de Genève.
Nos différentes réunions ont eu lieu dans la salle commune d’une coopérative genevoise au centre de Genève.
